La décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale a des conséquences immédiates pour la santé : projet de loi sur la fin de vie caduc, travaux parlementaires interrompus (commission sur la protection de l’enfance, PPL sur la transition de genre, sur les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées…) D’autres réflexions sur lesquelles s’était engagé le gouvernement (plan infertilité, lutte contre les violences sexuelles dans le milieu médical) sont repoussées aux calendes grecques. Sans compter que la valse des ministres va se poursuivre : exit Catherine Vautrin et Frédéric Valletoux. Leur successeur sera le 7e locataire de la rue de Ségur… en l’espace de deux ans seulement.
Cette instabilité au ministère de la Santé vous inquiète-t-elle ? Y voyez-vous une opportunité de remettre à plat les réformes pour repartir sur de bonnes bases ? Déplorez-vous au contraire un coup d’arrêt aux réformes importantes dont le secteur a besoin ? À vous de débattre…
C’est vous qui le dites
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Éditorial
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