À la suite d’une concertation entre l’ANSM et l’Inca, le docetaxel peut de nouveau être prescrit dans les cancers du sein infiltrants non métastasiques. En effet, les investigations menées au niveau européen n’ont pas décelé d’augmentation de la fréquence des effets indésirables graves et des décès. De plus, la qualité de l’ensemble des spécialités de docetaxel commercialisés (princeps et génériques) est confirmée. Quant aux 47 cas décès survenus par entérocolite ou choc septique, l’augmentation récente du nombre de cas serait imputée à une plus grande vigilance des professionnels de santé.
Dans les prochains mois, un avis d’expert sur la place des taxanes (docetaxel et paclitaxel) devrait être publié par l’Inca. Il devrait notamment préciser la conduite à tenir en cas de survenue d’effets iatrogènes.
Vaccination, soutien aux soignants, IVG : le pape François et la santé, un engagement parfois polémique
« Je fais mon travail de médecin » : en grève de la faim, le Dr Pascal André veut alerter sur la situation à Gaza
Après deux burn-out, une chirurgienne décide de retourner la situation
La méthode de la Mutualité pour stopper 2,4 milliards d’euros de fraude sociale