« La ROSP n’a pas changé ma façon de prescrire. Comme d’habitude, je prescris plutôt en DCI. Je ne marque "NS" que pour certains médicaments, comme les psychotropes. Les patients qui en prennent sont plus réticents à utiliser les génériques. À vrai dire, je n’ai même pas regardé les résultats que j’ai obtenus, ce dispositif n’étant pas ma tasse de thé. En novembre dernier, je m’étais dressé contre la mention “non-substituable”. Pourtant, je n’ai rien contre les génériques : j’en prescris régulièrement. Je pense que c’est important de faire des économies. C’est le fait d’écrire “non-substituable” que je ne supporte pas : on dirait que c’est le retour à l’école ! Comment fera-t-on quand il sera question de la dématérialisation des ordonnances »
Dr Ève Grislin*
« "NS" uniquement pour les psychotropes »
Publié le 03/05/2013
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*Généraliste à Strasbourg (Bas-Rhin), à l’origine de la semaine du non-substituable
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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