Le poids des ans prive le sujet âgé de la pleine possession de ses facultés. Par exemple, la vue, la solidité osseuse, la marche, la capacité à dire qu’on souffre, la facilité à uriner chez l’homme… Le médecin doit souvent s’adapter. Repérer, analyser, évaluer la douleur. Conseiller le patient sur ses apports calciques. Moduler ses prescriptions... Par ailleurs, ni le grand âge ni le déclin cognitif ne diminuent le besoin d’affection, d’intimité et/ou de relations sexuelles. Enfin, dans l’Alzheimer, le « cerveau des émotions » peut être stimulé par la présence d’animaux et par des ateliers d’art, d’esthétique, de danse et de musique.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Dossier
Spécial Seniors et Dépendance
Publié le 02/05/2013

Sommaire