Médecin généraliste, femme, Saint-Avold (Moselle)
« Mes difficultés majeures restent le manque de moyens de soulager un patient hyperalgique à la maison et à sa demande d'euthanasie: besoin d'aide psychologique autant pour le malade que pour les soignants On finit toujours par hospitaliser dans ce cas de figure... »
Médecin généraliste, femme, 54 ans, Cerisy-la-Forêt (Manche)
« Ouvrir toute la pharmacopée au médecin traitant. Assurer la prise en charge à 100 % de la fin de vie. »
Médecin généraliste, femme, 55 ans, Chartres (Eure-et-Loir)
« Bien manipuler les traitements médicamenteux et appareillages techniques : PSE O2 morphiniques, etc. »
Médecin généraliste, homme, 46 ans, Vernou (Indre-et-Loire)
« La prise en charge de la fin de vie nécessite des moyens thérapeutiques (comme des produits d'anesthésie), humains et du temps. Il faut nous donner tout cela pour y parvenir et éviter le bricolage. »
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